10 novembre 2008
Regarde comme je suis forte, j'avance sans toi.Et
Regarde comme je suis forte, j'avance sans toi.
Et je mens... Je n'ai jamais si bien menti. Merci. De faire de moi ce que je n'ai jamais été. De me rendre si fragile et si vulnérable. Merci. De n'être qu'absent. De ne jamais savoir m'aimer. Tu aurais du... Tellement & tant de choses que ça me rend malade. J'ai pensé que tu voulais me faire payer. C'est bon, je crois que j'ai pris assez de coups dans la poitrine.
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S
M